Dans une petite clairière

Lyam avait suivi Emir et les autres élèves. Il semblait attentif à ce qui les entourait, et avait écouté les propos des autres dans un étrange silence. A l'annonce faîte par Emir quant au déroulement du cours, il avait éprouvé un mélange d'excitation et de curiosité. La peur de pénétrer en ces lieux interdits et dangereux ne faisait que renforcer encore cette sensation.

Mais, au fil de leur progression dans la forêt, le jeune garçon s'était fait de plus en plus mélancolique. De plus en plus perdu dans ses pensées. Lorsqu'ils parvinrent à la clairière, il écouta les instructions de leur Professeur, puis s'éloigna quelque peu.



Perdu dans ses pensées, Lyam se contente de profiter de l'instant présent. La forêt qui s'étendait au pied du caer familial, en bordure du loch, lui manquait cruellement...

Le jeune garçon finit par se tirer de sa mélancolie. S'il sait qu'il est difficile de s'orienter dans une forêt, il ressent pourtant des sensations familières. A vrai dire, il est presque persuadé de pouvoir retrouver son chemin sans l'aide de la magie...

Lyam s'apprête à reprendre la route qu'il pense être celle de Poudlard lorsque, à la réflexion, il se dit qu'il pourrait être "amusant" de voir où le ménerait sa baguette... Il reproduit donc à son tour les gestes de leur Professeur... Quatre Points

Filinsia: Oui, effectivement, il y a des traces d'animaux encore nettement marquées dans la boue du sentier: Des sabots, et des traces de loups.

Johny: Laissant Alexander à son sort, tu tente à nouveau ton Quatre points.. Ta baguette t'indique le nord droit devant toi
Quand tu reprends ta route, un sentiment bizarre t'assaille. Celui d'être observé. Un sentiment fugitif mais tenace. Cette impression ne te quitte qu'au bout de quelques minutes.

Daniel: Effectivement, pas de trésor dans cette clairière, du moins à prmière vue ^^
Ta baguette indique le nord à gauche.

Wood: Droit devant toi, soit,

Lyam: Ta baguette t'indique le nord à droite.

Alexander:
La situation semble critique. Tu t'es bel et bien englué dans la toile de ces araignées. Difficile de s'en extraire mais ton sang froid incroyable paye.
Les araignées ne bronchent pas, voire même, certaines remontent le long de leurs arbres.
Celle tapit prés de toi, dans les fougéres n'est plus visible non plus.
Il en reste bien une ou deux, mais elles restent immobiles.
Dans les fourrés, émerge la tête triangulaire d'une vipére.
Celle ci passe prés de toi,grimpe nonchalemment le long de ton bras avant de percer la toile de l'araignée comme du coton, avant de disparaitre dans les broussailles humides
Un accroc est maintenant crée dans la toile... Ce sera peut être plus facile de s'en sortir...

Lëanë: Ou que tu sois (car tu n'as pas encore rejeté ton sort): Une violente odeur t'assaille, plus forte que celle des petits croissants. Ca te hérisse immédiatement, comme un danger potentiel non loin de toi (et d'autres élèves.: Théophile n'est pas loin, Filinsia est en train de s'abîmer devant un sentier une cinquantaine de mètres droit devant, et Lyam de rejoindre la même zone que vous)
Une odeur de chien mouillé, mais en plus brut, en plus sauvage.

La petite fille resta fascinée devant les traces et décida de les suivre contre toute attente. Elle voulzit voir si c'était des centaures ou encore une licorne et la curiosité la tiraillait.

Hésitant un moment, puisque son odorat semblait à présent la mener à gauche, Lëanë s'apprêtait à lancer à nouveau le sort de Quatre Points, quand elle perçut cette odeur effrayante... A la vue de ses camarades, non loin de là, elle se dirigea vers le plus proche, à la fois le plus vite possible et en faisant le moins de bruit qu'elle pouvait, ayant peur que la créature les ait déjà repérés - ce qui était d'ailleurs sûrement le cas. La fillette sortit alors sa baguette, la sentant toutefois dérisoire face à cette impression de danger, surtout au vu des recommandations du professeur Karajic.

Arrivée à portée de chuchotement de Théophile, elle lui souffla :

"Attention ! Il y a une créature par là, je crois... Peut-être un loup..."

Puis elle tenta de situer plus précisément le lieu où se trouvait la "chose" qui les menaçait ainsi. Pendant ce temps, son subconscient s'interrogeait sûrement sur cet odorat étrange qu'elle semblait avoir acquis, mais elle n'y faisait pas attention, évidemment, ayant une question pour le moment bien plus urgente à règler.

//Je vais vite tant que mon PC veut bien marcher//

Après avoir suivi le professeur KARAJIC et discuter avec lui de la salamandre et de son évolution. Lui demande s'il veut les notes qu'il a pris ou le rapport directement.

Pose sa baguette et après avoir inspiré:

QUATRE POINTS

Hume l'air, regarde le résultat donné par la baguette.

(Autant le faire 2 fois avant de partir comme un fou pour être sur)

Puis, pour vérifier refais une seconde fois

QUATRE POINTS

Puis après avoir vu le même résultat donné 2 fois par la baguette part en courant

(Pff, pas que ça à faire moi, 15 points ça nous placerai à la hauteur des Poufsouffles et nous remettrai dans la course contre les serdaigles, aller go go..)

(Bon mes nouveaux copains sont bizarre : Un qui se prends pour le prince de Galles l'autre pour le cow boy solitaire....Bon on va voir.)

S'enfonce dans la direction donnée par sa baguette en regardant la mousse sur les arbres.

(Parait que là où il n'y en a pas c'est le nord)

Alors que tout semblait perdu, quelque chose de bizarre se passa, les Araignées qui auraient du se jeter sur lui pour en finir se contentèrent de rester parfaitement immobile et lorsqu’il se tourna pour observer l’Arachnide qui l’avait observé en premier lieu, il remarqua qu’elle avait disparue. Bizarre, autant qu’étrange, serait-ce lui la raison de ce départ soudain ? Il en doutait sérieusement, surtout qu’il n’était pas en position de force, englué dans la toile, incapable de bouger alors que ces créatures étaient en pleines possessions de leurs capacités et libre de mouvement. C’est donc sur le regard légèrement surprit que les Araignées commencèrent à grimper le long de leurs arbres et disparaître dans les feuilles. Il n’en restait que deux mais elles aussi demeuraient immobiles. Alexander était de plus en plus décontenancé jusqu’au moment où il sentit une présence non loin de lui et un léger sifflement se fit entendre.

De Valmort tourna la tête vers la source de ce bruit et vit la tête d’une belle Vipère émergée des fougères non loin de lui, il y avait beaucoup de chances pour que ce soit ce Serpent qui avait rendu les Araignées inquiètent. Il la vit s’approcher de lui et la suivit du regard, demeurant parfaitement sans esquisser le moindre mouvement. Il la vit s’enrouler lentement autour de son bras pour ensuite percer la toile d’un coup de ses crochets, créant un accro à l’œuvre des Araignées ce qui allait rendre leur toile moins résistance, une fois son travail accomplit, la Vipère rampa jusqu'à ses fougères et disparût à l’intérieur, laissant Alexander une nouvelle fois seul. Il fallait maintenant agir vite pour ne pas laisser le temps aux autres Araignées de revenir à la charge. Avec des gestes lents et méthodique pour ne pas montrer son inquiétude, il tenta de déchirer un peu plus la toile pour se donner une plus grande large de manœuvre avant de tenter de se relever.

( Heureusement que cette Vipère est arrivée, j’aurais pu terminer ma journée en repas pour ces saletés de bestioles. Quand on y réfléchit, si il avait utilisé sa baguette, cela aurait peut être effrayé le Serpent qui ne me serait sans doute pas venu en aide. Bon, ce n’est pas que leur compagnie me déplaît, mais il serait temps que je me bouge pour m’en aller le plus vite possible d’ici. ) Dit Alexander tout en continuant à bouger pour s’en aller. Il fallait bien avouer que l’accro créé dans la toile rendait les choses plus simples. Il ne pu s’empêcher de songer à la course qui se poursuivait et lui qui perdait du temps. Il fallait accéléré, sinon il allait perdre trop de temps et il utilisa toute la force qu’il possédait pour se tirer de ce mauvais pas.

//HJ : Ce post juste pour rectifié une petite chose il vient se placer avant de faire tourner la baguette//

Part dans la direction indiquée par le professeur une fois celle ci indiquée

Théophile vit un véritable bond sur place quand Lëanë s'approcha de lui, et la regarda, en fronçant les sourcils.

- Un loup? répéta-t-il en jetant de furtifs regards autour de lui.

Il se demanda un bref instant comment la jeune fille pouvait savoir ça, mais depuis quelques temps -son arrivée à Poudlard en fait- Théophile s'étonnait de plus en plus difficilement quand ses camarades ressentaient quelque chose d'inexplicable.
Il ne remit pas une seconde en question ce que Lëanë lui disait.

De son côté, Filinsia semblait absorbée par la contemplation du chemin.

- Il faudrait peut être la prévenir. Si il y a des loups dans le coin, il ne faudrait pas nous perdre de vue les uns des autres...

Théophile fut trés fier de lui. Sa voix n'avait pas tremblé malgré la panique qui l'envahissait. Un loup, c'était quand même un sacré molosse, et ce n'était pas avec une cuisante qu'ils s'en débarrassaient.

Ce n'était pas le moment de flancher.
Il décida d'ouvrir la route pleine de ronces jusqu'à Filinsia mais s'emmela les jambes et se vautra dans les buissons.

- Aïe.... se contenta-t-il de dire en se relevant tout égratigné.

Difficile de garder un air sûr de soi. Le visage de Théophile prit une teinte cramoisie qu'il essaya de masquer d'un air dégagé

- Hum, je... me suis... emmelé les jambes... je ... bref... On la rattrappe? demanda-t-il

Lya:m observe la direction que lui indique sa baguette. Il cherche du regard des passages plus faciles, et s'y aventure tout en suivant la direction qu'il pense être celle de Poudlard.

Au bout d'un moment, par acquis de conscience, le jeune garçon lance de nouveau le sort... Quatre Points.

Filinsia: Tu décides donc de suivre ces traces le long du chemin, et c'est sans relancer ton sort, que tu continues.
Attentive aux marques, branches cassés et empreintes, tu notes qu'effectivement, des équidés sont passés par là. Centaures ou licornes, aucune idée à moins que... Accrochés dans un buisson d'épineux, quelques crins argentés scintillent sur le bord du chemin.

Lyam: Ta baguette t'indique le Nord devant toi. Tu t'enfonces donc dans cette direction
Malgré le temps gris et orageux, à un détour du chemin, il te semble apercevoir un drapeau flotter au loin... Malheureusement, aller droit dans cette direction est impossible: un marécage s'étend, et il n'a pas l'air engageant du tout.

Krynos: Par deux fois ta baguette t'indique le nord à ta gauche... Quant aux arbres, la plus part des troncs en sont couvert jusqu'à hauteur de bras.

Lëanë: Ton instinct ne te trompe pas, c'est bien un loup que tu sens. Mais là où ton instinct te chiffonne vraiment, c'est que l'odeur est trop persistante pour qu'il n'y ait qu'un seul animal.

Alexander: L'effort paye, tu abimes suffisamment la toile pour t'en dégager.

Lyam observe le marais. C'est bien la première fois qu'il en voit un... Du regard, il cherche à en découvrir sa faune et sa flore... du moins celle qu'il peut voir sans s'y aventurer.

Puis, le jeune garçon cherche autour de lui un moyen de contourner ces lieux, quitte à revenir sur ses pas au besoin. S'il essaye de garder en tête la direction approximative du drapeau qu'il avait aperçu, histoire de ne pas trop se perdre, il vérifie bientôt la direction qu'il doit prendre à l'aide de sa baguette...

Quatre Points !

La petite fille continuait son chemin récupérant ce qu'elle trouvait comme les crins de licorne.

Après quelques minutes elle se rendit compte qu'elle s'était pas mal éloigné de son premier objectif. Elle regarda autour d'elle, essayant de reconnaitre l'endroit où elle était.

Elle tendit sa baguette et dit distinctement

Quatre points

Lëanë s'apprêtait à suivre Théophile quand celui-ci s'engagea à la poursuite de Filinsia, quand il se prit les pieds dans les ronces du buisson. Elle allait l'aider à se relever, quand elle se rendit compte de la persistance de l'odeur... Il y aurait-il... plusieurs loups ? A cette pensée, elle se retînt à grand-peine de courir, et annonça à son compagnon :

"Thé.. Théophile... je crois qu'il y en a plusieurs... Dépêchons-nous !"

A ces mots, elle commença à marcher d'un pas rapide, se rappelant que courir risquait d'exciter les bêtes, et ne l'aiderait pas à les semer, vu la vitesse qu'elles pouvaient atteindre... Elle partit donc sur les traces de Filinsia, peu important pour le moment dans quelle direction cela les menait, la seule chose comptant était de rester hors de danger... ce qui lui semblait déjà perdu.
Toutefois, elle tentait de se raisonner en se disant que jamais le professeur ne les aurait précipités dans un endroit réellement dangereux, eux, des premières années ! Néanmoins, la raison avait du mal à prendre le dessus sur la peur, pour ne pas dire la panique, qui commençait à l'envahir de la tête au pied.

Filinsia, pendant ce temps, s'était éloignée, et Lëanë tenta de ne pas la perdre de vue, tout en vérifiant que le Serdaigle était toujours à ses côtés.

Johny qui attendait la direction indiquait par sa baguette, vit que c'était le Nord. Il avança toujours aussi lentement. Johny qui réfléchissait beaucoup, n'avait aucun regret d'avoir laissé Alexander tout seul, mais il ressentait quand même un sentiment bizzare en lui. C'était une personne ? une bête ? qui l'observait. Il n'en savait point, il voulut au plus vite s'en allait de cet endroit. Il accéléra donc son pas, il avait parcouru un bon bout de chemin, s'arrêta, tourna la tête dans toutes les directions, et la chose avait l'air d'avoir disparu.
Il avait perdu son sang froid pendant quelques minutes, pour rien il se le reprochait. Il semblait complétement perdu après cette acte, il en avait marre de tourner dans cette fôret. Il pensa qu'il avait déjà bien avancer vers le Nord, et qu'il devait suivre une autre direction.
Il sortir donc sa baguette.

Quatre Points

Sac à gargouilles, c’est avec soulagement qu’Alexander entendit la toile se déchirer sous ses efforts et la prise de celle-ci sur lui se défaire, il était temps. Mais tout n’était pas encore terminé, il devait rapidement quitter les lieux et se mettre plus en sécurité. Il se releva donc et sortit de la toile avant de reprendre la direction que lui avait indiqué sa baguette au pas de course pour quitter le plus vite possible cet endroit avant que les Araignées ne décident de revenir à sa poursuite. Après avoir mit une distance suffisante entre le Domaine des Arachnides et lui, il s’arrêta et reprit sa respiration, il n’était pas beau à voir, ses habits étaient sales et son visage baigné de transpirations ainsi que de boue séchée. Le son de l’eau tinta à ses oreilles et il trouva une sorte de petite rivière, il s’agenouilla et se passa un peu d’eau sur le visage avant de se relever.

Il avait déjà meilleure allure qu’avant, on ne pouvait pas dire qu’il était propre comme un sou neuf mais c’était convenable pour les circonstances. Il s’appuya contre un arbre après avoir vérifié qu’il n’y avait pas d’occupants indésirables… et réfléchit durant quelques minutes. Cet épisode avec ces saletés de bestioles lui avait fait perdre un temps précieux dans la course pour les 15 points. La seule chose sur laquelle il pouvait compter était sur le fait que les autres élèves fassent eux aussi de mauvaises rencontres ou que leurs sorts ne fonctionnent pas comme il le faudrait. Durant son aventure face aux Arachnides, il avait aperçu au loin la silhouette de McPurton, celui-ci ne lui était pas venu en aide et c’était tant mieux, de Valmort avait horreur d’avoir une dette envers quelqu’un.

( Ce n’est pas tout ça, mais je ferais mieux de me remettre en chemin ou je risque de perdre toutes les chances qu’ils me restent… Baguette. ) Songea Alexander en attrapant sa baguette magique qui se trouvait à sa ceinture. Il chercha du regard une pierre qui pourrait faire l’affaire et en trouva une non loin du point d’eau. Il alla jusqu'à elle et posa sa baguette dessus et attendit qu’elle se stabilise avant de mettre son doigt au centre mais sans vraiment la toucher, seulement l’effleurer et de prononcer calmement et clairement.

Quatre points.

Lyam: Tu gardes le cap tant bien que mal et tu contournes le marécage. L'endroit enfin derrière toi, tu recommences à avancer dans la direction du drapeau aperçu plus tôt.
D'où tu es, ta visibilité est nulle, tant les cimes des arbres se dressent droite et haute au dessus de ta tête

Daniel: Droit devant toi, tu continues d'avancer pour finalement tomber nez à nez avec Alexander, poussiéreux, limite boueux mais apparemment sain et sauf.

Alexander: Ta baguette t'indique le nord droit devant toi. tu t'appretes à partir quand Daniel déboule sur toi.
Sa présence te fait comprendre que tu as perdu un temps précieux...

Jonhy: Ta baguette oscille, et finit par indiquer le nord à ta gauche. Rien de pire pour accentuer la petite crise de panique que tu viens de traverser...

Lëanë, Théophile, Filinsia: Alors que la baguette de Filinsia lui indique le nord droit devant elle, elle entend soudainement des pas précipités derrière elle, ce qui manque de lui provoquer une crise cardiaque.
Lëanë et Théophile l'ont rejoint, essoufflés, un brin livide et l'air inquiet.
L'odeur du loup -uniquement perceptible par Lëanë- est toujours présente, flottant autour d'eux, mais elle n'est pas plus forte. S'il y a des animaux, ils restent encore à distance...

...et soudain Théodore s'arrêta. Il lui semblait que ça faisait des heures qu'il courrait. Essoufflé, il décida de faire une courte halte. Il s'assit sur un vieux tronc d'arbre, et, réfléchissant, conclut que le nord n'était finalement pas derriere lui.
Il choisit de reitérer l'expérience, et répétant les mêmes gestes qu'auparavant il lança la formule QUATRES POINTS !
Sa baguette tourna, puis s'immobilisa [ HJ: Sur une direction que voudra bien indiquer le MJ ultérieurement]
Et Théodore reprit son footing...

La jeune sorcière allait écouter sa baguett et se diriger tout droit quand des bruits de pas se firent entendre, la faisant émettre un petit cri de frayeur.

Ouf ce n'est que vous. Quelle frousse ! Qu'est ce que vous avez ? Vous êtes aussi blanc que si vous aviez vu un fantôme.

Confiant dans la direction indiquée par sa baguette cours vers le nord sans perdre une minute, essayant de parcourir le maximum de distance sans dévier de la prime direction.

(15 points faut les avoir.....)

Avance, aussi droit que possible mais restant à l'affut des bruits ou mouvements qui peuvent se produire autour de lui.

Essoufflée après cette course, Lëanë, ayant peine à reprendre un rythme respiratoire normal (elle n'était pas précisément très "physique"), lâcha quelques mots, parmi un concert de halètements, et les yeux toujours emplis de terreur :

"Ch...chut... arf... plusieurs... loups...".

S'efforçant de calmer un peu son coeur qui semblait vouloir absolument défoncer les os de sa cage thoracique, la fillette indiqua d'un doigt tremblant -tremblement peut-être du à la course, mais surtout à la peur que lui inspirait cette odeur et la pensée de ceux qui la colportaient- une direction, plus ou moins vague, qui semblait être celle d'où ils venaient.
Pouvant enfin articuler normalement, elle reprit :

"Comme il ne faut pas se servir de notre baguette, on... on devrait essayer de continuer vers le château... Espérons que... qu'ils ne s'intéresseront pas à nous."

Elle respirait toujours avec difficulté, mais parvenait à parler et à réfléchir autant que le permettait la situation dans laquelle ils se trouvaient. Heureusement qu'elle n'était pas seule... La fillette n'osait pas imaginer ce qui serait arrivé alors, sa panique (Si je ne suis pas à Gryffondor, c'est bien pour une raison...). Mais rien n'était encore fini, ces loups étaient toujours là, et ils n'étaient pas sortis de la forêt...

S'arrête un peu pour souffler après 20 minutes de courses.

(Pffff sale temps en plus, si je ne finis pas sous les pattes d'un centaure)

S'enfonce de plus en plus dans la sombre forêt, commençant à être trempé.

(Si avec ça je ne me choppe pas un rhume)

Se donne du courage en chantant une vieille gigue irlandaise

(Allez mon gars, t'as déjà fugué de l'orphelinat, t'es passé par des bois et des cimetières avec de pires pluies où même la neige.......)

Tout en tenant compte des ombres et bruits qui tournent autour de lui mais en essayant d'en faire abstraction.

(Vais montrer aux 2 autres ce dont je suis capable moi!)

En ayant une pensée à Johny et Alexander.....

Puis revérifie avec sa baguette , par 2 fois avant de repartir

QUATRE VENTS

Une fois cela fait repart à toute allure.

Johny attendait avec impatience la direction indiquée par sa baguette.

(Pas la gauche, pas la gauche)

Et la baguette indiqua la gauche.

(J'en ai marre de tourner en rond, je n'avances pas, je veux ces 15 points!!!)

Il se calma, et ne bougea pas, satané baguette, arrette de me faire tourner en rond, c'est la dérnière fois que je suis ta direction.

Il commença donc à marcher et reprit confiance, il ne devait pas se laisser abattre, si les autres le savaient ils allaient penser quoi de lui, il est un serpentard et fier de l'être.
Il avança, cette fois son trajet fut difficile, riviêre à repasser, de nombreuses racines qui entravaient sa route, le faisait chuter desfois, le sang coulait un peu de son front égratigné, mais il était trop motivé pour y faire attention.
Il arriva à un croisement, il ne pouvait plus avancer, une foret d'arbre bloquait son chemin.
Il prit donc sa baguette.

-Indique moi le bonne endroit, s'il te plait, arrête de me faire tourner en rond.

Il prit une énorme confiance en lui, il ne pensait plus qu'a réussir.

Il dit dont QUATRE POINTS et attendit plein d'espoir la direction.

Le jeune garçon poursuit donc sa route. Au fond de lui, il regrette quelque peu de s'être éloigné du groupe un peu plus tôt. Si le premier arrivé doit gagner 15 points, cela n'empêche pas de progresser en groupe... Et il aurait bien fait cette excursion avec les autres Poufsouffles.

D'un autre côté, être seul pour la première fois depuis son arrivée à Poudlard lui faisait beaucoup de bien.

Lyam lève les yeux vers les cîmes. Un instant, il hésite à grimper histoire de voir un peu mieux où il se dirige. D'un autre côté, l'exercice consistait à utiliser le sort... Poussant un léger soupir de regret, le jeune garçon sort donc sa baguette de sa robe et lance pour la énième fois le sort...

Quatre Points

Alors qu’Alexander allait s’apprêter à partir dans la direction indiquée par la Baguette, il se retrouva face à Daniel Farrar, un Poufsouffle qui participait également à la course. Il rangea sa baguette à sa ceinture et posa son regard noir sur le jeune garçon. Apparemment, il n’avait pas fait de mauvaises rencontres, le chanceux. Hélas, le fait que Daniel venait de le rattraper était signe qu’il avait perdu un temps précieux, il fallait presser le pas, il était temps de se mettre à courir. Il passa donc devant Daniel et poursuivit son chemin, puis brusquement, il s’arrêta et tourna légèrement sa tête vers le côté pour adresser quelques mots avec une grande froideur au Poufsouffle.

Si ça ne te dérange pas Farrar, je vais poursuivre mon chemin seul, je te déconseille de me suivre, je n’aime pas trop la compagnie, surtout quand la personne se révèle être un Poufsouffle. Je te souhaite une bonne continuation, mais fait attention, mon cher ami, la Forêt réserve bien des surprises. J’ai expérimenté les Araignées, ces saletés des bestioles m’ont fait perdre du temps. Dit Alexander d’une voix glaciale avant de s’enfoncer à nouveau dans la forêt suivant la direction que lui avait indiqué sa baguette magique. Une chose qui était tout de même rassurante était le fait que Daniel se trouvait être plus ou moins dans la même direction que lui, il y avait donc de bonnes raisons de croire qu’il était sur le bon chemin, mais cela n’était pas encore gagné, en effet, il devait se dépêcher, car l’étau commençait à se resserrer.

La marche tranquille de l’Héritier des de Valmort se transforma en course pour gagner du temps, tout en prêtant toujours autant attention à ce qui l’entourait et surtout, écoutant attentivement le moindre bruit pouvant être source de problèmes. L’Episode des Araignées avait été suffisamment cuisant et il ne voulait plus être dans une situation similaire. Après plusieurs minutes de course dans cette direction, il s’arrêta un instant pour souffler un peu. Il mit sa baguette sur une pierre se trouvant sur le bord du chemin, une pierre concave et il posa sa baguette dessus, attendit qu’elle se stabilise avant de poser son doigt au centre juste assez pour l’effleurer et prononça la formule que leur avait apprit Emir.

Quatres points