Au bord du lac

*Sarah sentit l'air se bloquer dans sa gorge lorsqu'elle entendit la Serpentard arriver derrière elle*

(Sexik..... Non..... Pas elle! Ne me regarde pas! Non!)

*Elle laissa échapper un gémissement puis se leva d'un bond et partit en courant, ses larmes repartant de plus belle*

(Je t'en prie..... Non!)

NE ME REGARDE PAS!

*Dans sa course à l'aveuglette dans la pénombre, son pied se coïnça entre deux pierres et elle impacta violemment le sol, tête la première. Ses larmes prirent le goût cuivré du sang qui ruisselait de son nez cassé par sa chute. Essayant de se relever, la bouche pleine de sang et le visage enflammé par la douleur, elle poussa un léger cri*

A...Argh...

*Son pied coïncé entre les pierres du lac avait vrillé sa cheville lorsqu'elle était tombée. Impuissante et incapable de se relever pour s'enfuir, elle resta à plat ventre sur les cailloux qui lui labouraient les côtes, sanglontant misérablement*

S'il te plaît..... Sexik... J'ai trop... Honte....

Mac Gonagall se leva prestement et alla relever la fillette. Elle se tourna vers Sexik.

Sexik pouvez vous avoir la gentillesse de retourner au château, il se fait tard !

Elle regarda ensuite le nez de Sarah. Elle sortit sa baguette magique et une lumière bleue nuit se mit à scintiller. Le nez était toujours cassé, mais le sang ne coulait plus.

Maintenant Sarah écoute moi bien. Tu n'es pas plus mauvaise qu'un autre élève de Poudlard et je vais même jusqu'à dire que ton test de ce soir était plutôt encourageant. Mis à part le fait que tu te retrouves aussi poilue qu'un singe, tu as quand même réussi à déchiffrer quelques mots.

Elle aida la jeune fille à se relever.

- Mais..

*Sincèrement choquée, Sexik regarde Sarah sangloter à terre, mais la remarque de Mac Gonagall l'énerve et elle serre les poings en crispant sa mâchoire. Ses yeux froids et pâles jettent des éclairs.*

- Quoi, c'est de ma faute, maintenant, professeur ? Si les cours et examens étaient mieux encadrés et les profs plus compétents, poisse ou pas, y aurait pas autant de morts et de blessés sans arrêt ! Cette école est NULLE !

*A Sarah*

- OK, je retourne au dortoir, mais j'irai te voir quand tu seras calmée, que tu aies honte ou pas !!

*Sur ces mots, elle part en courant vers le château.*

(Zut.. j'avais pas calculé tout ça, moi.. ça ne me ressemble pas..)

*Ses mèches dansant devant ses yeux gelés, elle fronce les sourcils d'un air déterminé.*

(va falloir que je commence à bouger. En commencant par Pré-au-Lard..)

*Sarah, se sentant encore plus ridicule qu'à l'accoutumée, attendit que Sexik s'en aille sans rien dire, rouge de honte, sentant toujours la douleur cuisante de sa cheville sûrement cassée - ou au moins foulée - et celle de son nez en compote*

(Elle a l'air vexée... J'ai été méchante... Non... Elle va me faire la gueule maintenant comme la fois où je lui ai collé mon poing dans la tronche! Non... Elle est vexée.. non! Comment je vais faire? Coment?)

*Sentant les larmes revenir à force de s'affoler, Sarah ferma les yeux*

(Fiouuuu... Calmons-nous...)

*Après quelques respirations profondes, elle fut à nouveau capable de parler sans que sa voix se brise*

Professeur.... Comment est-ce que je peux savoir si c'est pas Dieu qui s'amuse encore à me jouer des tours? Je vais si souvent à l'hôpital depuis ma naissance que j'ai dû prendre des cours tous les étés pour avoir le niveau à cause de mes absences... Toutes les infirmières me connaissent, tous les docteurs, tous les spécialistes de Glasgow et d'Edinburg... Mes parents m'ont même amenée voir des exorcistes et tout un tas de parapsychologues mais rien n'y fait : J'ai jamais de chance... Enfin, si, un peu...

*Elle sortit son shamrock de son pull et le tritura, avec ses doigts poilus l'air pensif*

Sans ce trèfle à quatre feuilles, j'aurais jamais vécu si longtemps d'après mon père.

*Elle soupira et regarda à nouveau Minerva*

Si je vous parle de tout ça, c'est parce que moi, je suis sûre que c'est encore un mauvais coup du sort, cette histoire d'animagus... C'est carrément impossible que j'ai plus de chance que les autres élèves...

*Elle tendit ses mains repoussantes devant elle et ses sourcils se fronçèrent*

Vous croyez vraiment que j'ai de la chance d'avoir des poils partout maintenant? J'ai pas envie de devenir comme ça à chaque fois que j'essayerai les expériences du nouveau professeur... Ou même que ça empire...

*Se souvenant soudain de la douleur qu'elle avait ressentie, elle au moment de sa lecture du parchemin, elle gémit*

Et puis j'ai plus envie que les lapins blancs reviennent me labourer le cerveau!

* Hum il va falloir que je surveille cette gamine. Sexik semble être très malpolie et indifférente aux efforts des professeurs. Je vais avoir une petite conversation avec elle.*

Sarah tu racontes vraiment n'importe quoi. Je n'ai pas dit que c'était une chance de se retrouver couverte de poils mais c'est une chance d'avoir lu un morceau de cette énigme.

Elle observait la jeune fille grace au rayon de lune qui transparaissait à travers le feuillage des arbres.

De toute façon je t'interdit désormais de ne pas assister à mes cours. Et si jamais tu ne pouvais vraiment pas venir, tu auras le droit à des cours particuliers! Je me refuse de croire que tu n'arriveras jamais à rien !

Minerva sourit gentiment.

Quand à ta pseudo amie Sexik, il va lui en couter d'avoir osé dire ce qu'elle vient d'affirmer. Et je te conseille vivement de ne pas la fréquenter s'il elle rééteire de tels propos outranciers !

*Sarah était déchirée par ses sentiments. Elle aurait volontiers sauté au cou de Minerva pour la remercier de croire en elle mais son manque de bonté envers Sexik la scandalisait au plus haut point*

(Pauvre Sexik....)

Professeur Mc Gonagall, je...

*Ne trouvant pas ses mots, elle déglutit, fit claquer sa langue à deux reprise puis poursuivit*

Je n'ai aucun droit de vous dire quoique ce soit ni de vous faire la morale parce que vous êtes une adulte et moi une enfant, mais je pense que vous vous trompez... Sexik est mon amie la plus chère et vous entendre dire que je ne dois plus lui parler ni la voir me paraît....
*Elle baissa les yeux, honteuse*

... Hé bien, ça me paraît un peu méchant... Vous avez pourtant l'air d'être quelqu'un qui a foi en tous ses élèves et c'est très bien. Je suis bien placée pour savoir que c'est pas le cas de tous les professeurs que j'ai rencontrés à l'école depuis la maternelle.

*Elle déglutit et releva les yeux vers le professeur Mc Gonagall. Ses tâches de rousseur avaient viré au cramoisi, tout comme le reste de son visage qui n'était pas tuméfié par sa récente chute*

Sexik n'aurait pas dû dire des choses pareilles sur l'école, c'est sûr, mais elle a bon fond en fait... C'est juste que.... Qu'elle a du mal à s'intégrer avec les autres. Le fait qu'elle soit à Serpentard l'a encore isolée alors que tout ce qu'elle demande, c'est qu'on prenne un peu soin d'elle...

*Elle éclaircit sa gorge dans le silence pesant*

(Arf... J'aurais dû me taire je crois...)

... Enfin... c'est ce que je pense en tout cas...

**Profitant de l'acalmie atmosphérique, une chauve-souris qui passait par là s'emmêla dans les cheveux de Sarah...**

[Hj: -________-U Ah bravo... C'est malin, ça!]



*Sarah, toujours aussi rouge et attendant de se faire sermoner pour sa grossièreté, vit une ombre passer au-dessus d'elle. Elle n'eût malheureusement pas le temps se se baisser pour esquiver l'ombre qui vint se loger dans ses cheveux bruns, émettant des cris stridents et gesticulant pour se libérer de sa prison capillaire*

AAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHH!!!!!! AIDEZ-MOIIIIIIIIII!!!!

*Elle commença à secouer la tête en tous sens, essayant d'extirper la bestiole coïncée sur sa tête. Une vive douleur au niveau de son index gauche lui apprit que la créature avait des petites dents perfides et aiguisées*

AAAH!

*Ne sachant plus quoi faire pour se débarrasser de la chauve-souris, elle continua à remuer désespérément la tête, secouant son doigt douloureux où començait à perler quelques gouttes de sang*

Experliarmus , hurla la sorcière.

La chauve souris atterit violament dans la main de Minerva qui la serrait mantenant au cou, ainsi qu'une touffe où se mélangeaient poils et cheveux de la fillette.

Et ben c'est Rogue qui va être content. Avec ça il va pouvoir préparer une petite potion.

Elle rangea sa baguette.

Tu vois y a rien d'irremediable dans la vie. Allez maintenant cours vers ton dortoir. Je te signal qu'il est très tard et que demain les élèves doivent se lever tôt.

*Sarah, le souffle court, fit un sourire reconnaissant à Minerva*

Mer... Merci Professeur Mc Gonagall... Et bonne nuit.

*Elle soupira, plus par soulagement que par lassitude*

(... Bon... Avec cette chauve-souris, elle a dû oublier ce que je viens de dire... Tant mieux.)

*Elle entâma le chemin du retour, claudiquant légèrement sur sa cheville foulée, son doigt velu dont les poils noirs étaient humides de sang et son nez cassé*

(...)

(Heu... Je crois que je vais d'abord aller à l'infirmerie... Sinon je vais pas arriver à dormir)

*Arrivant au château, elle se dirigea vers l'infirmerie, chemin qu'elle commençait à suffisamment pour le faire les yeux fermés*



Le vilain Fantôme> hin hin hiiiiin! Pas de deuxième chauve-souris comme ça! ^________^

Sarah : Alors que tu vas vers le chateau, une fatigue immense t'emporte... Tu t'aperçois que tu n'es plus en colère, ni même triste, au contraire... L'air frais du lac, il n'y a que çà de vrai pour reforger un moral ! Ou bien...

[Hj: Heuuuu.... Je suis déjà en train de dormir devant l'infirmerie, moi ^^]
[Edith Celuidontonpeutprononcerlenomsanssoucis : parfait ! ]

* Soudainement, un liévre blanc surgit d'un immense bond prés des rives du lac, un jeune loup juste derrière lui.
Un peu plus en arrière, Elfiane court derrière eux.

Le jeune loup saute et se retrouve nez à nez avec le lapin, qui dérape en un millième de seconde et se refugie dans un amas de buisson.
Nanaki s'y jette la truffe la première, mais le lapin a apparemment trouvé un terrier.
Il léve une tête toute dépitée vers Elfiane, mais finallement, aperçoit un écureuil dans les branches basses d'un sapin, sur les rives.
D'un bond, il fond sur l'animal, qui a tôt fait de se réfugier tout en hauteur et jette des petits bouts d'écorce à son agresseur.*

**Courant derrière le loup et le lièvre, Fifi finit par parvenir jusqu'au lac. Elle commençait à être essouflée, les deux animaux ne l'ayant pas attendue. Elfiane eut tout juste le temps de voir le lièvre ss'enfourner dans un buisson et Nanaki s'y jeter derrière avant d'en resortir dépité. Le lièvre lui avait échappé.**

Oh... Nana...**commença-t-elle. Mais elle fut interrompue par un nouveau bond de l'animal qui avait, cette fois repéré un écureuil dans un arbre. Il tenta de grimper à l'arbre pour l'attraper, mais le zigoto d'écureuil parvint à s'échapper et se mit à le bombarder de morceaux d'écorce. Elfiane courut vers le loup pour lui faire abandonner son idée.**

**Soudain, Elfiane se désintéressa de la scène du loup et de l'écureui. Elle avait l'impression d'être attirée par le lac. Elle aurait voulu résister, mais en vain. Les échecs du jeune loup lui semblaient... Inintéressants.

Elle s'approcha du bord jusqu'à ne plus en etrequ'à quelques centimètres. Elle se plongea dans la vision du lac et se perdit dedans, au point de ne plus entendre ce qu'il se passait autour d'elle. Elle était littéralement ailleurs, son esprit semblait dans un autre monde. Elle ne voyait plus rien de ce qu'il y avait autour d'elle. Etait-elle en transe?

Elle ne contrôlait plus son corps. Elle n'était qu'une invitée dans ce corps qui, quelques instants seulement auparavant. Mais combien de temps cela dura-t-il? Quelques secondes, minutes, heures? Elle tomba soudain à la renverse, évanouie dans la neige.

Elle ne resta pourtant que quelques minutes à peine inconsciente. Nanaki se précipita vers elle pour lui lécher le visage.

Elle se réveilla plus tranquille. Sa colère avait disparu, remplacée par une vague rancoeur. De même, sa peur elle-même avait été remplacée par la joie d'avoir reçu cette lettre. C'était comme si quelqu'un ou quelque chose avait gommé certains de ses sentiments, comme si elle n'avait plus la force d'éprouver certains de ces sentiments.

Malgré cela, elle se sentait bien, bien qu'ayant l'impression d'être dans du coton. Elle prit le jeune loup dans ses bras.**

Ce n'est rien Nanaki. Tout va bien... Juste une... Absence.

Elfiane: Le jeune loup porta un regard plein d'inquiétude sur la Elfiane, peu rassuré malgré ses paroles. Il couina quelques instants, alla renifler le bord du lac d'un air soupsonneux, puis, finit par venir enfouir sa tête dans les mains d'Elfiane.

"Partons"

Tu as presque l'impression que le loup a parlé à haute voix.

**Elfiane regarda faire le loup, souriant de son regard inquiet et de son attitude. Elle rit lorsqu'il alla renifler le lac pour vérifier s'il y avait du danger ou pas et attendit sagement, toujours assise qu'il revienne.**

"Partons"

**Ce mot avait résonné dans son esprit, et pourtant, elle avait l'impression qu'il avait parlé à voix haute. Elle le caressa, lui gratouillant l'arrière des oreilles avant de se lever. Elle avait la sensation de marcher sur du coton, sensation vraiment étrange...**

Allez, je te suis Nanaki, mon bébé...

**En fait, ce fut elle qui partit devant le loup en direction de l'intérieur de l'école.**

[ si le loup me suis, le prochain post est devans le bureau d'albus...]

*Sarah avait couru jusqu'au bord du lac, comme à chaque fois qu'il lui fallait s'éloigner des gens pour donner libre cours à sa peine. Là, malgré la neige qui s'amassait au sol et les bourrasques de vent gelées qui lui fouttaient le visage, elle y revint à nouveau.
Après avoir glissé sur le ventre sur toute la pente qui menait au lac, elle se releva comme elle put, son nez à nouveau ensanglanté. La glissade avait rouvert la plaie qu'elle s'était faite en tombant dans les vestiaires quelques instants plus tôt. S'asseyant sur sa grosse pierre plate moussue, elle ramena ses jambes devant sa poitrine et posa la tête sur ses genoux pour sangloter douloureusement.
Elle aurait pu dire à Sexik qu'elle voulait la suivre mais qu'avec sa cheville, elle n'aurait pas pû. Mais elle en avait été incapable, pétrifiée par les yeux bleus si froids qu'elle avait connus si doux à peu de temps plus tôt*

... Petit Chat.... Tu parles!...... Connasse!...

*Toute à son chagrin, Sarah ne sent tout d'abord pas cet étrange sentiment d'engourdissement. Ou plutôt si, mais elle l'interprète comme une manifestation du froid qui règne au dehors. Peu à peu, ses larmes se tarissent et laissent place à un sentiment d'hébétude étrange, comme une mélancolie dû à la fatigue.
Ses yeux se ferment peu à peu et elle tombe allongée sur le dos dans la neige, son nez toujours ensanglanté, inconsciente*

* Je sui Sylhia tant bien que mal au travers de la neige *
(il faut vraiment qu'elle soit bien malade pour braver ces itempéries)

*nous nous rapprochons du bords du lac, la visibilité n'étants pas très bonne nous avons du mal à distinguer les berges*

tu as de la chance, il n'est pas gelé mais n'en abuse pas il faudrais pas que tu finisse à l'infirmerie pour gelure et plus de ta superbe décoloration...

*je fais un sourire à Noémia*

ne t'inquiète pas... Mais toi tu risque pas d'avoir froids avec toute cette superposition de vetements... Bon bien j'y vais...

* je me dévéti rapidement et je plonge, tout en n'aillant pas homis un coup d'yeux au allant tour*

(a cette heure et par cette température peu de chance qu'il y est un voyeur)

(quesque cette eau est froide... j'espère que ça vaut le coup sinon direction l'infirmerie)

* voyant Sylhia plongé dans l'eau glacée je frémis*

Breu...

(quel courage et quel détermination)

*Je recule de quelque pas pour m'élonger du bord quand j'appreçois dans la neige a à peine 50 centimères l'écuson des gryffondor... J'écarquille mes yeux...*

(mon dieu y a une gryffondor qui est rester ici... Depuis combien de temps est elle là? ... vite... Arrète de penser agit)

j'hurle: Sylhia sort vite j'ai besoin de toi ici! Vite!

*je me rapproche de la fille, elle n'est plus conciente... Je me penche sur elle.*
(OUf! Elle respire!)

*je le dégage de la neige et enlève mon gros manteau de laine pour le lui mettre*

* entendant Noémia m'appelais, je sortis de l'eau.
Je la voyait s'activer, je me revetis donc dans l'urgence.
Je m'approche d'elle est je la vois enfiler son manteau sur une gryffondor visiblement incociente*

Ne panique pas . ça va allait ... Vient on l'emmène à l'infirmeri de toute urgence de toute façon il fallait y passé pour moi

(heureusement que ce bain a eu l'effet espèrer mais maintenant je suis gelée)

(allais je me calme je sairais plus efficace...)

*je passe donc son bras sur ma nuque et Sylhia fait de même*

Quesqu'elle est froide... murmurais-je à moi même.

*nous patimes en direction du chateau, en présent le pas*

l'efforts est très rude et je ne me sens pas très bien
(j'aurais du manger et j'avais raison Sylhia à pris froid avec ce bain mais elle a l'air mieu)

*Titia arrive près du lac...

La solitude qui règne dans ce lieu est agréable et le froid est moins mordant qu'il n'y parait au premier abord...

Elle attrape quelques cailloux et commence à faire des ricochets sur l'onde plane qui s'étend devant elle ...*

Titia sentit un malaise soudain l'envahir....
Un sensation désagrable et perturbante qui avait disparu aussi rapidement qu'elle était apparue ...elle s'arréta un instant et regarda autour d'elle avec plus d'attention...

Rien, l'eau toujours d'une sérenité absolue n'est troublée que par les derniers ronds entourant les ricochets qu'elle vient de faire...
Rien ne vient troublée le silence de l'endroit...

Titia frissonna et décida de rentrer ...l'endroit n'était plus aussi agréable...*