Dans la Volière

*Clémence regarda la volière et écris sa lettre :
Maman ,papa désolé de ne pas vous avoir écris plus tôt mais la vie a Poudlard est tellement merveilleuse que je n'en est pas eu le temps...

(c'est plutôt que je n'en avais pas envie mais bon)

J'ai rejoins la maison Gryffondor et j'en suis très contente voila je vous embrasse très fort

Clem

*Pour ne pas pensé a la réaction de son père elle grimpa sur le bord de la fenêtre et monta sans difficulté...elle regarda le paysage si riche de Poudlard posa sa tête sur ses genoux et remarqua qu'elle était...triste .Triste de quoi elle ne le savais pas ,depuis que Stéphanie était tombé et qu'elle n'avait rien plus faire elle se forçait a sourire.Elle avait surement simplement peur pour son amie et s'était normal ...C'était sa l'amitié .Et la elle se fit un grand sourire a elle même et descendit du bord de la fenêtre :elle avait envie d'être aimable avec tout le monde aujourd'hui ... Elle sortit en trombe de la voilière et se dirigea dehors.

*Quand Aliénor pénétra dans la volière en chantant, les chouettes et les hiboux dirigèrent leur regard vers elle. Elle leur sourit, puis leur demanda:*

Qu'est-ce vous avez tous à me regarder comme ça? Je chante faux?

*Elle se dirigea vers une chouette et attacha à sa patte une lettre:*

Va porter ça à mes parents, s'il te plaît...et vite...

*Puis, elle alla prendre son petit déjeuner dans la Grande Salle.*

Furion comptait se rendre à son dortoir, mais il prit rapidement le chemin de la volière. Il entra dans la pièce dont le sol était jonché de fientes et alla s'adosser au mur du fond.
Il commença par écrire une lettre à ses parents.

*Avec un peu de chance, ils m'enverront quelques gallions...*

Sa lettre terminée, il en rédigea une seconde au service abonnement de la Gazette du Sorcier.

Citation :

Monsieur le rédacteur, ceci est une demande d'abonnement au nom de Furion Stonesoul. Adresse : Château de Poudlard.
Monsieur le rédacteur, veuillez croire en l'expression de mes sentiments distingués.

Il trouva rapidement deux hiboux qui semblèrent heureux de s'acquitter de la tâche de distribution. Il les regarda disparaître à l'horizon et sortit de la volière.

*Je voulais choisir le plus beau des hiboux pour qu'il porte le message à mes parents je mis longtemps à le choisir*

*J'accroche la lettre à sa patte et je le laisse s'envoler par la fenêtre, je ne peux m'empecher de penser à mes parents c'est la première fois que je suis dans un pentionnat*

*Je reste un petit moment à regarder par la fenêtre et voir les oiseaux sagement endormis au-dessus de moi un peu partout*

*Aprés un bon moment passé parmis les chouettes et autres hiboux à réflechir sur la condition humaine, je décide d'aller dans la grande salle afin de me restaurer convenablement et de retrouver mes amis.*

*Receptus arriva enfin à la volière. Il s'assit dans un coin et écrivit une lettre:*

Receptus a écrit:

Madame/Monsieur, je désire m'abonner à la Gazette du Sorcier.
Je suis Receptus Ratircol et je suis à l'école de Poudlard.
Merci

*Receptus ferma l'enveloppe avec la lettre et l'accrocha à la patte d'une chouette grise.*

Va. C'est pour la gazette du sorcier.

*La chouette partit et Receptus resta là pour la regarder partir.
Quelques minutes plus tard, Receptus partit.*

*Sexik entre, l'air ennuyée. Elle baille longuement en regardant les volatiles cligner leurs grands yeux en la détaillant. Elle se dirige vers la fenêtre, s'accoude au rebord, et laisse son regard et son imagination se perdre dans le ciel lointain, tout en fredonnant son air triste sans paroles...*

(...)

*Sexik cligne des yeux alors qu'elle avait failli s'endormir sur le rebord de la fenêtre. Elle se recule d'un mouvement souple, et s'en va sans un regard pour les volatiles..*

*Lazadar arrive en pleine nuit dans la voliére.*
"Tien des oiseaux....Sa serais marrant si piallié tous en même temp"
*Lazadar s'approche doucement d'un des oiseaux qui dort et lui jete une petite pierre qu'il a ramassé parterre.
Loiseau s'envole en poussant un petit cri, tout les autres oiseaux s'envole et piallent.
Un grand vacarne reigne maintenant dans la piéce.
Puis Lazadar sort de la salle en courant.*

**Elfiane monta ensuite jusqu'à la volière. Il y régnait un vacarme monstrueux. Elle ne savait comment calmer les oiseaux. Elle s'accroupit au sol en espérant voir les pieds des deux filles et les béquilles de Flore, mais elle ne vit rien. Aussi repartit-elle en courant vers sa prochaine destination.**

**Elfiane parvint à la volière. Ainsi que l'avait dit Lily, la jeune fille était recluse de fatigue, mais elle avait mieux à faire qu'à se reposer. Elle avait sa vie entière pour dormir... Ses yeux se fermaient tous seuls, masi se rouvraient immédiatement. La volière s'était un peu calmée depuis sn dernier passage, mais il était vraiment impossible de rester longtemps dans la pièce.

Elle avisa un hibou qui semblait avoir de grosses vélléités de voyage. Elle siffla entre ses dents et le rapace tourna la tête vers elle. Elle tendit le bras et il vint s'y percher, plantant ses serres dedans. Quelques gouttes de sang tombèrent au sol. Il était vrai que la jeune fille était toujours vêtue du short et du tee-shirt qu'elle portait pour l'évaluation d'archéologie... Elle accrocha le mot solidement à la patte de l'animal et lui murmura ces quelques mots:**

Atelier Fratellini, Paris, France

**Elle s'approcha ensuite de la fenêtre, qu'elle ouvrit, et, avant de balancer l'oiseau dans les airs d'un mouvement du bras, rajouta:**

Dépèche-toi, c'est urgent...

**Après que l'oiseau se fut envolé, elle referma la fenêtre et profita de sa présence dans la pièce pour vider un sac de graines dans leur mangeoire (à défaut de viande crue...), ainsi que pourleur remettre de l'eau. Personne n'avait dû prendre le temps de s'occuper de ces pauvres oiseaux pendant ces quelques dernniers jours, forts mouvementés, d'ailleurs...**

*Sexik était montée dans la volière avec pour vague idée de regarder le paysage au calme, mais s'arrête en entrant. Les chouettes. Comment n'y a-t-elle pas pensé avant ?*

(....)

*Elle jette un coup d'oeil derrière elle et dans la pièce pour bien vérifier que personne ne puisse la voir, et sort lentement sa baguette.*

- Vous allez m'être utile, mes jolies...

*Les chouettes l'ignorent, alors que Sexik prend sa pose de chevalier vaillant*

- Oui ! Vous ! Horribles et cruels dragons qui avez enlevé l'élue de mon coeur, la princesse Frenegonde, délicate et pure ! Je vous vaincrai !

(^^)

*Elle tend la baguette vers l'une des chouettes.*

(Alors, mouvement horizontal, sans dire de formule, voilà..)

*Et elle lance son sort encore peu maîtrisé, en concentrant sa magie du mieux qu'elle le peut.*

Sexik : ta baguette frémit, elle semble hésiter de cible, et au dernier moment, le flux magique fait chemin retour, te donnant une forte douleur cuisante au niveau du poignet. Qui a dit déjà qu'il fallait souffrir pour être vile ?

- Argh !

*Sexik regarde les yeux ronds la chouette indemne qui se contente de cligner les yeux en inclinant la tête comme pour se moquer d'elle. De douleur, elle en lâche sa baguette, et fait un plongé en avant spectaculaire pour la rattraper de la main gauche, s'étalant au passage dans les chiures d'oiseaux...*

(Merde... j'espère que la poisse de Sarah n'est pas contagieuse...)

*Elle se relève et masse un peu son poignet, l'air furieuse, puis tend à nouveau sa baguette, de la main gauche cette fois.*

(Peut-être que ce sort ne marche que sur des êtres humains ? Essayons autre chose..)

- Maudits Dragons ! Vous vous battez férocement en employant mille traitrises, mais je ne me laisserai pas vaincre ! Rictusempra !

*Sexik semble tellement plongée dans son rôle qu'elle en oublie qu'elle s'acharne sur de pauvres volatiles...*

Sexik : ton sort gronde dans la volière et alors qu'un des hiboux hulule gaiement sans plus se retenir, ses confères s'envolent bruyamment, laissant des nuages de plumes et sortent s'aérer un peu...

*Sexik arbore désormais un large et rare sourire lumineux en contemplant le résultat. Elle s'approche de la chouette agitée de soubresauts qui pousse des hululements joyeux, et s'amuse un moment à la toucher du bout de sa baguette. Mais elle se lasse vite de la chouette qui ne cesse plus de hululer, et s'en va, fière comme un prince, ignorant son poignet droit qui la picote.*

(Et toc, ils font plus les malins, les dragons..)

Suzan chargée de ses cahiers entre dans la volière. Elle croise Sexik l'air satisfaite qui l'ignore comme à son habitude. C'était étrange plus aucuns volatiles dans la volière.

" Mais où sont ils tous passés ? "

Suzan bouda en serrant davantage ses bouquins.

" Tant pis j'écrirai plus tard..."

Enfin c'était quand même étrange qu'aucune chouette ne soient là !...

**Elfiane arrive enfin dans la volière, accompagnée du hibou de l'école que lui a envoyé Max. A ce moment là, un nouveau arrive porteur d'un autre message. Elfiane le lit et soupire. Cet idiot s'est trompé de lieu de rendez-vous. Elle donne à manger aux hiboux et descend dan la grande salle.**

*Oz s'était arrêtée de courir au bas des marches qui menaient à la volière et elle reprenait son souffle en montant tranquillement les escaliers, tout en réfléchissant à la tournure de son message... Arrivée en haut, elle fit le tour de la volière des yeux. Il y en avait des hiboux ! Elle ne savait lequel choisir... Elle décida qu'elle choisirait après, et s'installa sur les marches pour écrire sa lettre. [HJ/ pm M. le prof ! ^^]
Lorsqu'elle eut terminé, elle repassa dans la volière en elle-même et refit une nouvelle fois le tour de la salle. Elle s'approcha d'un petit hibou roux qui ressemblait à ceux de son pays, et lui tendit sa feuille, pliée en quatre, sur laquelle était inscrite en gros "Kachina i Satinka".*

- Tu veux bien leur amener, pequeño tecolote [petit hibou en espagnol (acceptation latino-américaine)] ?

[edit:pour faire repartir Oz]
*Et lorsque le rapace roux quitta la volière, Oz le regarda s'éloigner un moment avant de retourner vers la Grande Salle.*
[/edit]

*Sarah se précipita jusqu'à la volière après un détour involontaire jusqu'à l'entrée du château. Elle n'était venue dans la volière qu'une seule fois à la volière la nuit et de surcroît, par le plus grand des hasards. Elle entra donc dan la salle aux fenêtres ouvertes pour laisser entrer les hiboux et s'assit dans un coin pour écrire sur un bout de parchemin*

Citation :

Cher Papa, Chère Maman, Cher Sean,

Je m'excuse de ne pas avoir écrit plus tôt mais les cours me prennent beaucoup de temps. Je vais aussi très souvent à l'infirmerie malgré mon shammrock et la poupée magique que ma copine Oz m'a donnée, mais comme la médecine magique est plus efficace que celle des gens normaux, je suis toujours très vite sur pieds. Même la fois où j'ai eu les poumons percés en tombant dans des rochers sur une île. L'infirmière est très gentille et elle s'occupe bien de moi chaque fois que je me fais mal. Je sais pas pourquoi mais je suis sûre de l'avoir déjà vue quelque part avant...
Il se passe tellement de choses étranges ici que je pourrais en écrire un livre, mais je vous raconterai tout ça à la fin de l'année quand je reviendrai à la maison parce que c'est pas le moment et que j'ai pas vraiment le temps aujourd'hui.
Si je vous ai écrit, c'est qu'en fait, hier soir, j'ai rencontré Tante Serena. Oui, je sais, elle est morte, mais en fait, dans le monde magique, les gens morts peuvent continuer à vivre dans les tableaux. C'est ce qui s'est passé pour un garçon d'une autre maison, d'ailleurs. Maintenant, il peut se promener partout. ça a l'air marrant!
Enfin, pour en revenir à la Grand-tante Serena, je l'ai vue dans le tableau d'un couloir en allant chercher des informa aux dortoirs pour me coucher. Elle est très belle et jeune et elle parle beaucoup. Elle m'a dit qu'une autre de mes tantes était là aussi et qu'elle me la présenterait. En fait, ça fait bizarre de parler aux tableaux au début, mais on s'y fait vite... Tante Serena m'a dit qu'elle vous avait donné une clé et des renseignements pour moi. J'espère que vous ne les avez pas jetés parce que j'en ai très besoin maintenant. Le coffre qui s'ouvre avec cette clé contient tout le travail de mes grands-tantes sur la malédiction des Mc Dougall.

Je vous embrasse tous les trois en espérant que vous pourrez m'envoyer ma clé.

Sarah.

*Sarah relut sa lettre et la plia avec soin en soupirant. Quelque part, elle se doutait que ses parents avaient jeté la clé qui lui revenait mais elle gardait quand même un brin d'espoir. Elle s'approcha d'un hibou grand duc qui la fixait d'un air hautain avec ses yeux ronds*

Heu... Il faudrait que tu apportes ça au 45 Woosley Road à Glasgow...

*Le Grand duc conserva stature hautaine et fixa la lettre des yeux*

Hum.... S'il te plaît....

*Comme si le hibou avait attendu cette marque de politesse, il s'empara de la lettre et s'envola par l'un des fenestrous. Sarah garda les yeux sur l'orifice un instant avant de sortir de la volière*

... Je me demande si c'est vraiment efficace, cette poste...